Dans une relation D/s, la règle qui veut que l’on doive le respect à un ainé ne s’applique qu’aux personnes du même sexe.
Dans tous les autres cas le Féminin l’emporte sur le masculin qui lui doit obéissance.
" Tu as une queue et alors ? Tu entends prouver quoi ? Qu’à ce titre je devrais te considérer comme étant mon roi alors qu’elle est minuscule, que je la contrôle, que jamais elle ne me baisera et que je te fais cocu comme je l’entends ?"
" Désolée, pour moi c’est juste une quéquette de petit garçon et j’aimerais que tu ne l’oublies pas ! "
Il y a suffisamment de moyens pour une Reine d’humilier son chevalier pour qu’inversement Elle sache le mettre en confiance et lui apprenne qu’il n’y a rien de déshonorant – voire qu’au contraire il y a une une forme de grandeur – pour lui à se débarrasser de ses inhibitions, à libérer ses émotions et à se livrer sans retenue lorsqu’il lui s’agit de reconnaitre qu’Elle lui est supérieure.
Recevoir sur sa quéquette de (petits) coups d’un martinet prévu à cet effet (lanières courtes et souples) est pour un chevalier moins douloureux qu’humiliant.
Ce pourrait même être considéré comme la mise à mal ultime de sa virilité puisque ce qui est traditionnellement considéré comme symbole de la force (et du pouvoir) d’un homme se retrouve objet vulnérable (et méprisable) corrigé par une Femme qui affirme ainsi clairement une autorité devenue totale.
Enfin, accepter la dévalorisation, les humiliations et ici la douleur infligées à ses parties génitales ne peut que rehausser chez un homme le sentiment que c’est la vulve de sa Maitresse, son bien-être et ses plaisirs, qui est au sommet de tout dans leur relation.
Lorsqu’une Reine souhaite (entre autres) éduquer son chevalier à redevenir petit garçon, à un age où sa sexualité n’était pas encore clairement affirmée, lui faire porter parfois ou faire faire des "trucs de fille" le conduit invariablement à se sentir moins mâle et à avoir moins d’ambition concernant sa virilité.
Qu’il apprécie physiquement ou pas ce type d’intrusion, il est généralement psychologiquement difficile pour un chevalier d’accepter de se faire enculer, fut-ce par le doigt de sa Reine, au point de chercher à garder les yeux fermés. (Ce qui inversement fait les délices de cette dernière qui ne manquera pas de lui demander de les ouvrir pour accroitre sa gêne).