" Les fessées ou le martinet n’ont jamais tué un homme mais ils lui rappellent sa place dans un couple comme le nôtre. Celle d’un petit garçon obéissant et respectueux qui a accepté de s’en remettre à l’autorité et au contrôle d’une Femme responsable de la bonne marche de ce dernier. Et puis quel délicieux contraste. Moi qui ait le pouvoir de rougir tes fesses alors que ton devoir est d’embrasser les miennes. "
" J’imagine combien ça doit être très humiliant de ne pouvoir te branler qu’en ma présence pendant que j’écarte les jambes pour que tu penses aux hommes qui me baisent alors que tu ne le feras jamais et je dois t’avouer que j’adore ça. Sinon pourquoi te l’imposerais-je puisque c’est mon plaisir qui compte avant tout. "
" Tu croyais vraiment que tu pourrais te branler ce soir alors que nous ne sommes pas dimanche ? Poisson d’avril mon chéri. Ne fais pas cette tête, tu pourras le faire demain. "
" En me voyant habillée ainsi, tout le monde pense que je suis Dominante. Ca tombe bien parce que je le suis, sans aucun doute possible, avec les hommes en tout cas et, à voir ton comportement, je suis sure que tu aimes les Femmes qui le sont. "
" Tu ne pourras pas dire que je ne suis pas une épouse attentionnée, vu toutes les contorsions que je fais pour que tu puisses satisfaire ton besoin d’embrasser mon cul pour me prouver ton amour et ta dévotion. "
" Tu vois je te l’avais dit. En quelques mois tu as accepté de ne jamais me faire l’amour, de porter une cage de chasteté, d’être cocu, de lécher les détritus de ma chatte et pourtant tu n’as jamais autant aimé une Femme que moi. Et quand on est comme moi Dominante, comment ne pas aimer un homme prêt à supporter toutes les humiliations pour satisfaire le plaisir que j’ai à l’humilier ? J’ai fait mon chemin en te conduisant la où je voulais te conduire, sans retour en arrière possible. L’essentiel est acquis mais fais-moi confiance nous pourrons aller plus loin, beaucoup plus loin. "
" Je pense que, toi aussi, tu devrais toi aussi plus souvent porter du rose. Rassure-toi personne ne pensera que tu es gay puisque nous vivons ensemble et que la plupart des gens pensent que tu es également mon amant. Mais pour assumer ton Féminisme vis à vis des autres et ton absence de virilité vis à vis de moi. "
" Tu aimes quand je caresse cette petite chose qui a arrêté de grandir quand tu étais petit garçon ? Cette chose si petite qu’Elle ne pourrait jamais satisfaire une Femme et qui fait que tu es cocu. Cette petite chose qui ne connaitra jamais la douceur de mon vagin mais qui est toute excité au contact de celle du cuir de mon gant. Cette petite chose à jamais condamnée à ne jouir que dans ta main ou dans la mienne. Tu aimerais que je te branle ? Tu sais pourtant que c’est vilain pour une Dame de branler un petit garçon sauf à le libérer de ses vilaines pensées ? Mais il faut qu’Elle les connaisse pour mieux le libérer. Alors dis-moi ; qu’est ce que tu aimerais faire de très vilain pour moi ? "
" Bien sûr que je le reverrai et que nous ferons à nouveau l’amour. C’est même pour ça que j’ai repris la pilule. Mais puisque tu es un mari aimant et que tu es incapable de me satisfaire avec ton micro pénis, ça te fait deux bonnes raisons pour comprendre ma décision et ne pas la contester. "
" Tu te demandes ce que pensent les gens quand ils te voient porter mon sac comme un gentil garçon. Moi je me demande ce qu’ils penseraient s’ils savaient que tu caches sous ton pantalon une toute petite chose, enfermée dans une cage de chasteté et protégée par un mini string de vilaine fille."
