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Anesthésiant

Lorsqu’une Reine enfile des gants de latex, c’est souvent pour le plaisir de doigter le cul de son chevalier. Lorsque ce plaisir est peu partagé par ce dernier, lui offrir à respirer les odeurs intimes qui imprègnent sa petite culotte peut constituer une forme d’anesthésiant ou au pire une compensation offerte par sa Reine.

En profondeur

Lorsqu’une Reine apparait ainsi à la vue de son chevalier, c’est qu’Elle a décidé de prendre soin de sa santé et de lui pratiquer un lavement en profondeur (dans tous les sens du terme et donc renouvelé trois fois pour être parfaitement efficace) de ses intestins, quand bien même Elle sait que la venue des crampes et – à terme – l’impossibilité de contrôler ses sphincters (en sa présence ?) est particulièrement humiliante pour lui.

Infirmière particulière

Si par amour une Reine sait prendre soin de son chevalier lorsqu’il est malade, certaines, par jeu et/ou pour accroitre leur dominance, aiment le faire à titre préventif (comme on le faisait autrefois avec les petits garçons dans des actes particulièrement humiliants lorsqu’on est un homme) en prenant par exemple (et dans une liste non exhaustive) sa température, en lui mettant des suppositoires pour favoriser son transit intestinal, en lui procurant des lavements, en massant sa prostate pour contrôler son bon fonctionnement, en vérifiant la propreté de ses fesses ou de sa quéquette, en épilant cette dernière pour éviter les infections, voire, pour les plus expertes (attention danger si on ne l’est pas), en lui posant une sonde urinaire qui le rendra totalement dépendant d’Elle lorsqu’il aura envie de faire pipi.

Température

Avec la parfaite mauvaise foi qui peut la caractériser lorsqu’Elle est taquine, une Reine peut prétendre que son doigt est suffisamment sensible pour servir de thermomètre rectal et ce avec un aplomb d’autant plus imparable qu’effectivement il lui suffira d’annoncer 37 ° à +/- 0.5 ° pour avoir raison dans 99% des cas.

Un chevalier sait néanmoins que, sous ce prétexte métaphorique auquel il ne pourra pas échapper, il s’agit de le conduire à se sentir petit garçon aux mains d’une adulte bienveillante (mais également un peu libidineuse) qui prend soin de sa santé, mais aussi de reconnaitre sa soumission entière en acceptant qu’Elle fouille ainsi une partie de son anatomie qu’un homme garde en général inviolée.

Lavements

Que ce soit à titre éducatif, préventif, curatif ou punitif, il n’est pas rare qu’une Reine ne souhaite pas un jour donner des lavements à son chevalier.

Dans les trois premier cas, ce peut être un moyen de le conduire à se sentir petit garçon que l’on doit (comme au XIXème et au début du XXème siècle) guérir d’une constipation passagère (un lavement suffit) ou aider à nettoyer son colon régulièrement afin de prévenir tout problème de transit (en général il faut le renouveler 2 fois).
La tendresse et les massages de son abdomen pour calmer ses crampes n’empêcheront pas son besoin incoercible d’aller aux toilettes et l’ humiliation de se sentir ainsi vulnérable.

Dans le cadre punitif, la dose déversée est généralement supérieure et la position plus humiliante et moins agréable.