" Depuis le temps que je cherchais une langue que je pourrais programmer à devenir, sans honte et sans tabou, l’esclave de ma chatte, il semblerait qu’avec toi je l’ai trouvé, non ? Mets-toi donc à genoux que nous commencions sans plus tarder son conditionnement. "
" Puisque tu m’honores si souvent en léchant mon trou du cul, il est normal que je m’occupe aussi un peu du tien. "
Chercher dans le regard de son chevalier l’extrême frustration et la jalousie de la voir s’apprêter à faire jouir dans sa bouche le sexe d’un autre homme, à peine plus long que le sien mais justement parce qu’il est plus long, alors qu’elle ne lui offrira jamais mieux que sa main.
" Viens renifler et embrasser ma culotte en essayant d’imaginer le bonheur, que tu n’auras jamais, de ceux qui ont pu glisser leur queue dans la fente qu’elle protège. "
" Ce n’est pas parce que je mets à ton crédit les efforts que tu fais pour être meilleur que j’ai changé d’opinion concernant les vertus de la fessée, même si elle ne s’exerce qu’à titre de maintenance. En acceptant de t’y soumettre, tu me montres que tu te soumets aussi à mon autorité de Femme adulte en te mettant dans la position de l’enfant qui doit lui obéir. Donc retire ta culotte et viens de mettre en position sur mes genoux. "
" Je t’ai promis la discrétion concernant ta cage de chasteté mais discrète ne veut pas dire secrète et évidemment oui, certaines de mes Amies sont au courant, dont celle à qui je te présenterai cet après-midi. "
" Félicitations, le cocktail que tu m’as préparé est royal. Pour te récompenser laisse-moi à mon tour t’en offrir un concocté avec amour par une Reine. Ouvre grand ta bouche et pose la contre mon intimité. "
" J’avoue qu’il m’est très agréable de savoir qu’à mon arrivée, un homme attend impatiemment de pouvoir embrasser mon postérieur afin de m’accueillir avec tout le respect qu’il me doit. "
" Mon vibro dans ma chatte, ton zizi dans sa cage, j’aime que les choses soient à leur juste place. A ce titre, ta langue sur mon clito serait la bienvenue. "
" C’est bien, tu es un gentil garçon, maintenant tu peux te relever et me débarrasser de mon manteau. "
