Archives mensuelles : novembre 2013

Ainée

" Surtout ne crois pas que puisque je n’ai plus 30 ans ma libido est en berne. C’est même tout le contraire et je ne me gênerai pas pour me servir de ta langue ou te faire cocu. Inversement à mon âge l’expérience fait que l’on s’est affranchie de la plupart de ses inhibitions et que l’on ne manque pas d’idées pour abaisser et humilier un homme. Pire pour toi : je prendrai un grand plaisir et n’hésiterai pas à les mettre en pratique pour casser ton ego de mâle, te conduire à être vraiment soumis et te convaincre, sans retour en arrière possible, de la supériorité des Femmes. Je sais maintenant, qu’au delà de ses qualités humaines, je ne pourrais vraiment aimer un homme que s’il acceptait de se livrer totalement à mon autorité. Tu crois que tu pourrais assumer cela et m’aimer malgré tout ? "

Non exhaustif

Pour certaines Reines, le message de liberté sexuelle que porte leur chaîne de cheville ne s’adresse pas qu’aux hommes.

Lorsqu’Elles reviennent chez Elles avec une Dame, leur chevalier doit (pourquoi le contraire ?) se considérer aussi cocu que s’il s’agissait d’un homme mais aussi s’attendre à devoir afficher, devant cette nouvelle Amie, sa soumission à l’autorité Féminine.

Futures réceptions

" Décidément cette tenue de soubrette te va à ravir. Bien sûr tu as l’air un peu ridicule mais c’est aussi le but non ? et ça ne te rend que plus "charmante" à mes yeux. J’envisage très sérieusement d’inviter une Amie et de te faire porter cette tenue pour nous servir le thé, histoire d’avoir son avis à Elle aussi. Tu aimes mon idée ? "

En profondeur

Lorsqu’une Reine apparait ainsi à la vue de son chevalier, c’est qu’Elle a décidé de prendre soin de sa santé et de lui pratiquer un lavement en profondeur (dans tous les sens du terme et donc renouvelé trois fois pour être parfaitement efficace) de ses intestins, quand bien même Elle sait que la venue des crampes et – à terme – l’impossibilité de contrôler ses sphincters (en sa présence ?) est particulièrement humiliante pour lui.

Puberté

Même si la réalité est généralement un peu différente de celle du dessin, c’est essentiellement au cours de sa puberté qu’un élément déclencheur fait qu’un homme devient attiré par les Femmes dominantes.

Même s’il inhibe ce fait dans un second temps, un nouvel élément déclencheur – la rencontre d’une telle Femme plus tard dans sa vie – pourra relancer cet attrait et le conduire à devenir soumis.

Mesdames qui recherchez un chevalier, un conseil. Lorsque vous croisez un homme timide ou que vous sentez mal à l’aise face à votre assurance, interrogez-le sur cette période de sa vie et son adolescence. Pensant qu’il y a prescription il se livrera beaucoup plus facilement – si c’était le cas – à avouer cette attirance passée. Il ne vous restera plus qu’à réactiver ses émotions du passé pour le conduire exactement là où vous souhaiteriez le voir : à vos pieds.

Un problème ?

" Un problème ? Tu savais bien qu’en devenant mon chevalier tu ne pourrais plus te branler sans arrêt. Maintenant si tu estimes que la satisfaction des besoins d’un homme est supérieure à celle d’une Femme et qu’il est plus important pour toi de jouir que de me donner des orgasmes, c’est que tu n’as ni respect, ni amour pour moi et je ne te retiendrai pas. C’est bien compris ? "

Dressage avancé

Lorsqu’une Reine estime que l’éducation de son chevalier est suffisamment avancée, Elle peut souhaiter introduire dans leur intimité une autre Reine affirmée ou une Amie qu’Elle connait assez (et qu’Elle aura sondée) pour savoir qu’Elle serait intéressée par ce type de relation.

Si la participation de tiers Féminins n’est pas indispensable pour l’épanouissement de leur couple, elle permet d’aller plus loin dans l’exploration du concept de la suprématie Féminine, c’est à dire pour le chevalier la reconnaissance de la supériorité non seulement de sa Reine mais également des autres Femmes (et notamment des Amies qu’Elle pourrait lui présenter).

Il doit alors apprendre à se comporter vis à vis d’une autre Femme de la même manière qu’il le fait avec sa Reine mais en dehors de sentiments (réciproquement) amoureux, rendant par la même sa soumission plus humiliante puisque dénuée (au moins partiellement) du regard bienveillant et protecteur de celle qu’il a l’habitude de servir.

Cet exercice imposé au chevalier a pour effet collatéral (le plus souvent désiré) de grandir la Reine aux yeux de son Amie et (c’est bien naturel) de renforcer son ego au fur et à mesure que son chevalier perd le sien.